lundi 28 juin 2010

Austin - suite...

Ça fait un certain temps que je n'ai pas raconté ma vie, alors reprenons. Un petit résumé de mon boulot viendra dans les prochains jours, ce qui est cool, c'est que la saison des ouragans commence et que donc tout ce que je vais pas tarder à faire, je vais pouvoir le tester en live. Potentiel premier ouragan de la saison dans le golfe du Mexique : Alex qui fait actuellement route sous forme de tempête tropicale vers le Mexique/sud du Texas.

Petite anecdote boulot cependant : vendredi devait être un peu un temps fort de la semaine, avec mon premier Group Meeting, une réunion où chacun présente ses travaux en cours et leur avancement. J'arrive donc avec ma chef (Jennifer) dans la salle de réunion où une dizaine de personnes sont déjà là. Il s'avère que c'est à peu près le nombre qu'on sera pour le reste de la "réunion". Et heureusement ! L'italienne de groupe arrive les mains chargée : un "chocolate cake" pour fêter son départ ! Soit, la réunion commence bien. Elle continue d'autant mieux que ma chef me présente au reste du groupe, et là le type à côté de moi me sort : "you're French ? You know Gojira ??" Pour les non connaisseurs, Gojira est un groupe français de metal (Gojira) et la conversation part assez rapidement en musique, puis plus généralement en culture française (notamment à propos d'un film dont je n'avais jamais entendu parler (Eden Log je crois...). Pendant ce temps là, les autres se souviennent que c'est la coupe du monde et qu'on a un vidéo projecteur dans la salle... Le Group Meeting se transforme donc en quelques minutes en Group Watching, les connaisseurs expliquant aux autres les règles du jeu, chacun ajoutant son petit commentaire (du genre : "il y a pas assez de but, faudrait les faire 3 ou 4 fois plus grand pour que ca devienne intéressant"). On remarquera toutefois la question du directeur de recherche qui est presque passée inaperçue "Quelqu'un a quelque chose à dire ?" qui n'a trouvé malheureusement aucune réponse. Du coup, tout le monde a regardé le match pendant un bon quart d'heure avant de retourner bosser... Enfin, bosser, pas tout de suite. Retour au bureau, et là je vois tout le monde regroupé : l'italienne (dont je n'arrive pas à me rappeler du prénom) distribue le reste du gâteau aux absents. Du coup, tout le monde commence à discuter, une discussion qui dérive sur les langues, où on se rend comte qu'à nous tous (6 personnes), on parle un bon paquet de langues (Français, Italien, Espagnol, Hindou (?), Hébreu, Anglais bien sur, Allemand, ...).

La journée se finit chez moi, à jouer... de la guitare ! et oui, fait marquant de la semaine, j'ai craqué :



(à part que les micros ne sont pas dorés mais argentés, j'updaterai la photo plus tard)

Bref, une Les Paul, un son incomparable, merci M.


Samedi, changement de décors, je retrouve Maghieu devant le Austin Music Hall pour...


Le Great Austin Beer Festival !

Et oui, près de 40 exposants, plus du double de bières différentes et en arrivant... c'est le bad ! Certes on a droit à un verre collector (4oz, soit 10cl) et heureusement car on a quand même attendu 30 min en plein soleil mais par contre, dans le verre on nous file une carte, avec des nombres, de 1 à... 10 ! Et on se rend compte au premier "bar" que les exposants cochent les différentes cases... QUOI ? on n'aura droit qu'à 10 verres de 10 cl ? (bon, ok ça fait 1 litre...)

Et bien non ! on passe au bar suivant et là, le type ne nous demande pas notre carte... Au suivant, non plus ! Sauvé ! Encore mieux : Au bar Duvel, le mec nous annonce même que de toute façon, une fois que la carte sera terminée, il nous en filera une autre... Refait !

Bon, l'histoire raconte que nous ne sommes arrivés qu'à la moitié de la carte (on a même eut droit à un type qui coche une case déjà cochée...).

Et ce petit festival était pas tout mal. Certes il y avait de la bière, ça aide. Il y avait également du monde, beaucoup de monde (à vue de nez, 1500 personnes). Du coup, il fallait faire la queue pour avoir ses échantillons, ce qui n'était pas plus mal, ça permettait de déguster tranquillement sa bière. Il y avait aussi à manger, des "pies" super bonnes ma foi. Et puis manger, ça ne pouvais vraiment pas faire de mal.

Anecdote marrante : Après un peu plus d'une heure, on passe devant un stand ou ils filent des bretzels si on s'inscrit sur une mailing list (du moins on croyait). Du coup, vu qu'il commençait à faire faim, on s'inscrit et là le type me file un petit ticket rouge : une tombola ! bon d'accord je le garde, on sait jamais. L'aprem se poursuit (il faut savoir que le festival se déroulait de 16h à 20h), on goute des bières blondes, brunes, rousses, des pas mauvaises, des très bonnes, des dégueulasses aussi. La fin du festival approche quand on repasse devant le stand loterie, et là le mec commence à tirer les numéros. Maghieu s'absente quelques instants donc je l'attends devant le stand par curiosité pendant que le mec continue à tirer les numéros, à la recherche d'un gagnant... qu'il trouve au bout de quelques numéros, mais il continue... et continue... et finit par appeler mon numéro ! Allllezzzz ! le type check vite fait mon billet et me file mon sac et une bouteille (vide malheureusement) mais bon ! Je m'écarte un peu, les gens me regardent et me sorte des "Oh you won you're lucky !". Je regarde l'intérieur du sac : un verre, un truc pour garder les canettes au frais, des tee shirts... WOW ! ALLEZ les Tee shirts !!



Bon, le premier est en S, le deuxième doit être en quadruple XL... j'ai plus qu'à essayer de trouver le bar pour en avoir à la bonne taille (et tant qu'à faire pour tout le groupe ?)

Bon, et voilà mes quelques autres trouvailles de l'aprem...



Ce festival ne pourrait pas mieux se finir... Ah non? beh en fait si ! Les organisateurs ne trouvent rien de mieux que de passer Master of Puppets pour faire fuire les gens... Raté !


Spoil : le week end prochain, je vais ici !
Remarquez c'est pas impossible que j'y aille avant...

jeudi 24 juin 2010

Le bière pong

Aujourd'hui, je vous propose de voir les Etats Unis différemment et d'étudier la culture américaine. Et son emblème, c'est bien sur le bière pong, ce sport national (surement au même titre que le football ou le basketball) qui égaye les soirées de étudiants undergraduated.

Les règles américaines sont fort différentes des règles cachanaises, avec leurs petites subtilités et leur touche d'humour. D'où cet article.

Le matériel :
* Le support : Le bière pong peut se jouer sur tous types de surface. J'ai ainsi pu essayer la 9-feet table, mais on peut également jouer avec deux table, ou même une table gonflable.



La raison de ceci est bien simple, ici ils jouent en tir tendu (cf plus bas).
* Les verres : Ici, on parle de cups. Elle sont standard, car on peut acheter des kits avec cups et balles de pingpong, comme ci dessous :



Une fois qu'on a la table, les cups, et les balles (j'ai bien dit "les"), il ne manque plus qu'une chose : les bières bien sur !

* Les bières : Ici ils tournent pas mal à la Bud Light, qui n'a de Light que son nom (après réflexion avec Maghieu, il semblerait que ce soit le terme générique pour "blonde" car notre Light conventionnel se dit ici "diet"). C'est donc la bière de base ici, mais elle est quand même de qualité légèrement supérieure à notre Kro. C'est pas plus mal ! Soucis habituel, quand on veut aller acheter de la bière (et de l'alcool en général, ou même rentrer dans les bars !), bah il faut son passeport. Et encore, il parait que dans certains endroits ils ne veulent même pas...



Maintenant que l'on est équipé, passons aux règles...

* Le nombre de joueurs : L'american beerpong se joue par équipes de deux.

* Le nombre de cups : Le beerpong standard se joue à 10 cups en pyramide (2D). Cependant, cela ne veut en aucun cas dire que chaque équipe a devant elle 10 bières.

* Le nombre de bières : En effet, le nombre de bières varie pas mal selon les parties. En général, il y a l'équivalent de 3 à 4 canettes pour 10 bières, mais quand c'est des filles qui jouent, cela peut descendre à 2. Pour deux personnes, ça reste correcte !

* Le round : Comme je l'ai dit au dessus, 2 balles sont nécessaires pour jouer. En effet, à chaque tour, les deux membres de l'équipent tirent l'un après l'autre, en tir direct, ou avec un rebond. Il faut savoir que dès que la balle a touché la table, l'adversaire peut tenter de l'intercepter (et mon coloc est sacrément bon pour ça...). Si le joueur réussit un tir direct, c'est une cup à boire. Si jamais un joueur réussit un tir avec rebond, ce sont deux cups qu'il faut alors boire ! De plus, si les deux joueurs réussissent à avoir une cup, alors ils recommencent. Sinon, ce sont aux adversaires de jouer.

Vous n'avez pas compris ? Check this out :



* Règles particulières :
- Il est possible de regrouper les cups restantes deux fois dans la partie, mais pas pendant son tour ! Soit avant, soit après ! Pourquoi faire ? pour refaire un triangle à 6 bières, ou pour les aligner par exemple car du coup, ça devient plus facile !
- Il existe un cas de jeu assez particulier : lorsque la balle tape dans la cup et commence a tourner sur le bord. Ce cas est assez fréquent et une règle toute particulière (et assez drôle) lui est consacrée. En effet, lorsque cela se présente, alors qu'en France on se jetterai la tête la première pour souffler et faire ressortir la balle, ici seules les filles ont le droit de souffler pour faire sortir la balle. En d'autre termes, "only girls can blow" alors que "guys have to use their fingers" pour rattraper la balle (pas évident!). On retrouve un peu l'esprit Cachanais :)

Voila c'est tout pour ce magnifique "sport", si certains sont intéressés je pourrai peut être ramener une table gonflable (pour le WEI ?).



Next one's comin'

lundi 14 juin 2010

Austin - 2nd week

[ articles plus bas édités - nouvelles photos ]

Avant toute chose, j'en parlais dans mon dernier article, voici la bête : Murphy !



Bon, deux semaine que je suis là et il manque tout de même quelque chose... Une guitare !
Après une semaine assez tranquille (dans le sens où ça a un peu été boulot-film-dodo), je me lance donc samedi dans une mission "à la recherche des magasins de musique perdus". Perdu, c'est bien le mot... Il s'avère qu'il n'y a aucun magasin de musique et à ce que j'en ai vu pas des masses de magasins tout court dans le centre d'Austin. Comme j'ai déjà du le dire, Austin est une ville assez étendue. Mardi, j'avais tenté le nord (avec pas mal de succès, une bonne adresse à retenir) donc il était temps de tenter le sud... Je pars donc en direction de bus et là, je passe la porte et c'est le drame : il fait au moins 1000 degrés ! (en tout cas il fait au moins 100°F... tiens, ça me rappelle qu'il faut que j'essaie de comprendre cette échelle un jour) En plus, le drame, c'est que mon co-bureau m'a annoncé aujourd'hui qu'il faisait plutôt bon en ce moment et que ca allait empirer dans les semaines à venir...

Bref, revenons à ma quête : Après quelques minutes de marche (qui semblent vite bien plus longues), j'arrive à l'arrêt et saute dans le bus direction le sud.. Bon, il s'avère que je ne sais pas exactement ou je vais, je connais le nom de la rue mais étant donné qu'elle part du bout du nord et qu'elle finit au bout du sud de la ville, c'est pas gagné. Je descend donc à un carrefour un peu après la rivière, échec ! Remarques pas tant que ça, premier magasin de musique... Bon, pas top, il y a pas grand chose. Je décide donc de marcher vers le sud. Après quelques dizaines de mètres, je tombe sur plusieurs choses assez déconcertantes :

La statue dans l'arbre :



Une voyante :



Et surtout le South Austin Museum of Popular Culture :



Et merde, encore des hippies...



Bon, la j'étais pressé mais j'y retournerai, ça c'est certain !

Du coup je continue sur ma route, sous la chaleur du mois de juin (qu'est ce que ça va être en juillet et aout...), jusqu'à...



TADA !! petit coup de lèche vitrine, malheureusement rien de bien intéressant... Heureusement, le défilé des bizarreries ne s'arrête pas ! J'attends le bus, devant un pub (vachement drôle d'ailleurs, le pub texan, sous le soleil et aucun roux à l'horizon...) et la débarque de je sais pas d'où une espèce de moto tracteur... bref, difficile à décrire, voici donc la photo :



Et aussi étonnant que cela puisse paraitre, ça a l'air de plaire aux filles... au moins ça les fait rire... (ce qui sera confirmé plus tard dans la soirée)



Bon, du coup après avoir passé à peine 2h dehors, qui m'ont semblé être au moins le double), je rentre parce que au moins, chez moi, y'a la clim (la plus belle invention du siècle, assurément).

Quelques heures plus tard, Scott rentre du boulot et Maghieu arrive à la maison. Il est temps de défier l'américain à son propre jeu : Le Bière Pong !



Pour ceux qui ne savent pas encore ce que c'est, je reviendrai plus tard la dessus...

On commence ensuite à bouger vers le centre et la c'est encore le drame : la ville est infestée de motards : des motards, partout, vraiment PARTOUT. Les bars sont pleins, la rue est pleine. Du coup, il semblerait que ça ait rebuté les gens normaux. Et du coup, la rue qui est déjà habituellement sur-bruyante (avec tous les clubs et bars) l'était encore plus. A coté de ça, les Vouvouzela, c'est... rien ! Bref, des moteurs qui vrombissent dans tous les sens, on ne s'entend plus. Ça fait rêver les filles, mais ça casse les oreilles.



Retour à la maison, grosse nuit de sommeil... je l'avais bien mérité, vu comme la journée avait été éprouvante... :)

(Et sinon, j'ai mangé une pomme !)

dimanche 6 juin 2010

Austin - Arrivée et 1ère semaine

New York, c'était cool. Mais maintenant faut passer aux choses sérieuses, direction Austin.



Petite correspondance à Dallas (son univers impitoyable) et j'arrive à Austin lundi soir. Petit aéroport, pas très compliqué de trouver la sortie. Je me dirige donc vers le bagage claim et la ça devient fou :



Austin, Live Music Capital of the World ® (Comme l'a ajouté Scott, un de mes deux colocs : "They claim" :)

Mais bon, le ton est donné. Et mon second coloc ne fera que confirmer cela : "Austin, c'est une ville de libéraux et de hippies". Bon bah le dépaysement ne sera pas total alors.

Bref, je sors de l'aéroport, prend le bus direction le centre et plus précisément le capitol où je suis censé retrouver Matthieu, un autre Cachanais (de ma classe). Je trouve assez facilement le lieu, en même temps c'est pas très compliqué :



Il m'emmène chez moi et là, première "surprise" (j'avais en fait complètement oublié), je tombe sur The Beast : Murphy (photo à venir)

A peine le temps de poser mes affaire, discuter un peu avec Scott, on repart histoire qu'il me montre ou se trouve mon labo (et il s'avère qu'en fait on travaille dans la même salle), à quoi ressemble l'univ et d'aller manger un morceau chez lui.

Au bout de seulement quelques minutes de marche, on arrive près du Erwin Center, une salle de spectacle. C'est plutôt blindé, et je me souviens qu'on était passé devant juste avant et que quelqu'un avait essayé de nous vendre des places. Et là je comprend pourquoi :



Et oui, Raw à Austin ! Pour ceux qui n'auraient pas compris, je parle ici de catch. Et même en extérieur, c'est assez impressionnant. Une dizaine de semi-remorque (American Style), des bus, des vigiles pour garder tout ça... Bref, ça c'est raté, je me rattraperai sur autre chose... (ou une autre ville).

On arrive ensuite à l'Université du Texas. L'emblème, le longhorn :


Et il y en a partout : aux abords du stage, bien sur (un stade de 100 000 personnes tout de même, c'est clairement pas pd! - même si je ne crois pas qu'il y ait d'équipe pro ici...), dans les différents bâtiments, sur les voitures, sur les tee shirt, sur le mug de Matthieu et j'en passe. La ville semble vivre au rythme des matchs des Longhorns (toutes disciplines confondues). C'est plutôt refaisant !



Arrivée au labo, petit tour du proprio, et on repart manger (ouai, c'est sans doute la partie la plus cool de cet article).

Le lendemain (mardi), je fais faire ma UT EID (carte d'étudiant) et je pars faire des courses. Ca se révèle être une mission plus ardue que prévu. Déjà, il y a peu de bus, et c'est très mal indiqué. En plus la grande surface n'est carrément pas à côté. Pour les bus, l'explication semble être que seuls les pauvres prennent le bus, les plus aisés ayant une voiture (généralement un pick up). Bref, ma carte d'étudiant me donne un accès illimité aux bus, on va pas se plaindre.

Mercredi, première journée de boulot. Du moins, première journée au boulot. Rencontre avec ma maitre de stage, qui me présente à l'équipe et à son patron. On discute un peu de ce que je sais faire, de sur quoi il travaillent, et on prend rendez vous pour le lendemain, histoire qu'elle discute avec son patron du projet qu'ils veulent me filer. En attendant, elle me file à lire un peu de doc sur les supercomputers... sympathique, j'ai lu quelques pages et c'est incompréhensible.

Jeudi, lecture : pas très passionnant à raconter...

Vendredi, à peu près pareil. A la différence que vendredi soir, il y avait un match de baseball dans le stade juste à côté de chez moi (ah oui important : chaque sport a son stade. Le foot a un stade énorme, au cœur de l'univ. Les autres stades ou salles sont d'une importance moindre, mais bon ca reste pas mal...). Ce qui est assez marrant, c'est le début : entrée des équipes, présentation des joueurs et du staff, et... Hymne américain, texan style ! un peu country, c'était assez marant :)



Bref, après une victoire écrasante d'Austin, direction le Burger King : Mesdames, mesdemoiselles, messieurs je vous présente le Texas Double Whooper :



Bref, calé, on passe chez Matthieu histoire de prendre un petit digestif et retour à la maison. Faut se reposer, demain c'est 6th Street !

Samedi soir, 6th street : on m'en parle depuis que je suis arrivé, voir même avant que je parte... Et ça valait clairement le coup. Donc après un petit détour par la piscine et jacuzzi de la résidence de Matt, direction 6th Street, la rue des bars et clubs. Des dizaines des lieux plus fous les uns que les autres, des concerts dans tous les sens. La rue est même coupée à la circulation pour permettre aux très nombreuses personnes de se balader comme elles le sentent. Scott me raconte même qu'à la Nouvelle Orléans, on peut payer un tarif spécial et remplir son verre comme on veut dans les différents bars... On en est pas là, mais cette rue vaut clairement le détour :



Bref, je sais ou me faire mes concerts du dimanche soir maintenant...

mercredi 2 juin 2010

NYC - Bonus !

Chose importante à ne pas oublier !! En sortant du Apple Store (ouai, on ne changera pas...) Célia m'emmène dans un énorme magasin de jouets. Et la, on tombe sur le tournage d'un film ! Cool, n'est ce pas ? et là c'est le drame : on tombe sur Gargamel ! Oui, c'est le tournage de The Smurfs, les Schtroumpfs, en plein milieu de New York.




Bon, naturellement on commence à se rapprocher pour voir si il n'y a pas un acteur connu... petite déception, pas de star à l'horizon, ça doit pas être un si gros film que ca... Ce n'est pourtant pas ce que semblent dire les nombreux camions de l'équipe de tournage qui attendent dans les rues adjacentes.

C'est en rentrant le soir, après un petit tour sur allociné qu'on commence à regretter de ne pas s'être attardé sur le lieu : l'acteur principal du film n'est autre que Niel Patrick Harris !

WHO ??

Lui :



Bon, j'irai pas pour autant voir le film, faut pas abuser...

NYC - Part2

Dimanche, 2ème jour à New York.

Une nuit un peu courte, et c'est reparti : on retrouve Anna et Romain pour aller manger vers 11h car Romain repart en France dans l'après midi. Anna nous emmène dans un petit resto, un peu paumé, mais complètement fou ! Non seulement les plats sont copieux, mais en plus le mec nous offre salade, soupe, ... Bref, on ressort complètement pleins, adieux déchirants dans le métro lorsque Maman nous quitte pour rejoindre JFK et hop direction Central Park ! Il fait beau, il fait très chaud, mais ça vaut clairement le coup ! C'est assez déroutant d'être dans un parc comme celui la en plein milieu de Manhattan. Il y a la verdure, les petits oiseaux (très peu de pigeons, ça fait plaisir !), les petites écureuils, et tout autour les buildings, hôtels de luxe à la Gossip Girl et j'en passe. Au loin, un léger bruit de moteur mais rien de gênant, les gens viennent et se posent pour bronzer sans non plus être les uns sur les autres, c'est vraiment agréable !



Chose étrange, on passe à plusieurs reprises devant des statues disons... que l'on attends pas là !



La balade continue vers le sud dans Little India et Little Korea (je crois, Célia tu me diras ?) puis encore plus au sud vers le quartier des affaires, Ground Zero, le coucher de soleil sur l'Hudson et la skyline du New Jersey :




La soirée se finit avec Anna, autour d'une pizza... Faut pas abuser, demain c'est le grand départ pour... Austin !

New York City baby ! (part1)

Et oui, avant d'aller à Austin, petit détour par NY. C'était prévu de longue date, et puis bon c'était l'aniv' de Célia, y avait Maman (aka Romain, pour ma vrai Maman) et Anna. Le détour s'imposait tout naturellement ! Donc, arrivée vers 6PM à Newark, je saute dans la navette qui m'emmène directement à NY où je suis censé prendre le métro pour rejoindre Harlem, où habite Célia. Le truc, c'est que le métro New Yorkais, bah il est un peu pourri : on ne sait pas quand passent les trains, ni vraiment trop lequel on va prendre. Pas de plan des lignes, mais bon au moins ça ne pue pas comme le RER ! (et quand tu dois attendre 20 minutes, c'est pas négligeable !).

Arrivée chez Célia, à peine le temps de poser mes affaires qu'on repart retrouver Maman et Anna pour manger : ils m'emmènent dans un petit resto, où ils font des burgers complètement fous ! au détour, j'explique au type que c'est l'aniv de notre pote et il me donne une bougie :


Après avoir plus que bien mangé, on file direction Time Square. Un lieu complètement fou, des pubs dans tous les sens, des magasins prestigieux, des gens, et encore des gens, partout...


Puis passage par le magasin M&Ms (je ne pensais pas qu'il existait autant de couleurs) et petit détour par le Hard Rock Café, qui n'a clairement rien à voir avec celui de Londres (certains s'en souviendront). On arrive vraiment dans un temple de la musique, avec les guitares des plus grand, les costumes des Beatles et d'Elvis et il semblerait qu'à l'occaz il y ait des concerts (mon oeil averti de BdAteux ne laisse plus passer ça !).


Mais bon, là aussi c'est blindé donc on ne s'attarde pas (et je n'ai même pas envie de regarder le prix des consos...).

Fin de soirée dans un pub et retour par le pont de Brooklin parce que, 'faut pas abuser, c'était quand même l'anniversaire de Célia !